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Notre plan d'action 2025

Rejoignez-nous pour une importante réunion publique le 22 juillet, organisée par Support Our Science (SOS). Nous sommes ravis de partager notre nouvelle vision à la suite d'un engagement fédéral important en faveur de la science en avril 2024. Bien qu'il s'agisse d'un début prometteur, nous reconnaissons qu'un soutien supplémentaire est nécessaire pour les étudiants diplômés et les boursiers postdoctoraux à travers le Canada. Inscrivez-vous ici pour plus de détails et pour participer à la conversation !
1. Indexer sur l'inflation la valeur des bourses fédérales d'études supérieures et des bourses postdoctorales.
L'inflation réduit chaque année le pouvoir d'achat de la valeur fixe des bourses fédérales. La récente augmentation des bourses fédérales à 40 000 dollars a rétabli (ou dépassé) la valeur réelle des bourses fédérales. Toutefois, si ces bourses ne sont pas indexées sur l'inflation, leur valeur s'érodera.
Nous demandons que toutes les bourses fédérales soient automatiquement augmentées chaque année en fonction de l'augmentation de l'indice des prix à la consommation de l'année précédente.

Figure 1 : Valeur réelle des bourses du CRSNG pour les étudiants de doctorat. En 2024, les bourses CGS-D (35 000 $) et PGS-D (21 000 $) ont été remplacées par la nouvelle bourse CGRS-D (40 000 $).
2. Créer une allocation nette minimale nationale.
Les allocations minimales proposées aux chercheurs diplômés varient considérablement d'une université à l'autre, d'une faculté à l'autre et d'un département à l'autre au sein d'une même université. Tous les départements ne garantissent même pas un niveau minimum de soutien financier. Lorsqu'ils le font, ce minimum est presque toujours insuffisant, les allocations nettes (après inclusion des frais de scolarité et autres frais universitaires obligatoires) se situant en dessous du seuil de pauvreté.
Nous demandons au gouvernement fédéral (par l'intermédiaire des conseils de recherche) de fixer une allocation minimale pour les étudiants diplômés soutenus par des bourses de recherche fédérales et d'augmenter la valeur des bourses de recherche pour permettre la mise en œuvre de cette mesure. Cette allocation minimale devrait être nette des frais de scolarité et autres frais obligatoires et être supérieure au seuil de pauvreté en MPC corrigé de l'inflation pour une personne seule, ce qui donnerait une allocation minimale nette moyenne d'environ 27 500 dollars.
3. Mieux soutenir les étudiants diplômés et les chercheurs postdoctoraux grâce aux subventions de recherche.
À la suite des annonces faites dans le budget 2024, de nouvelles sommes importantes seront investies dans les subventions de recherche. La plupart de ces augmentations interviendront au cours des prochaines années, ce qui permettra aux chefs de groupes de recherche d'augmenter la valeur des allocations et des salaires qu'ils leur versent. Toutefois, sans changement dans les mesures d'incitation, nombre d'entre eux pourraient utiliser l'augmentation de l'enveloppe pour recruter davantage d'étudiants diplômés afin d'augmenter le nombre de travaux de recherche réalisés.
Nous demandons que :
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Que la rémunération des stagiaires soit un critère explicite utilisé pour évaluer les demandes de subvention
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Que les trois conseils mettent en œuvre des politiques visant à garantir qu'une grande partie des augmentations à venir du financement des subventions de recherche profite aux étudiants diplômés et aux chercheurs postdoctoraux
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Que les départements universitaires utilisent l'augmentation de l'enveloppe de financement des subventions de recherche pour augmenter leurs niveaux d'allocations minimales.

Figure 2 : Les fonds alloués aux bourses de recherche devraient augmenter considérablement au cours des prochaines années.
4. Nommer des représentants des étudiants diplômés et des chercheurs postdoctoraux dans les organes de décision
Les voix et les expériences des étudiants diplômés et des chercheurs postdoctoraux sont souvent sous-représentées lors de la prise de décisions concernant le financement de la recherche - du niveau fédéral au niveau départemental. Ce manque de représentation a contribué au glissement des allocations et des bourses canadiennes à des niveaux non compétitifs (jusqu'aux récentes mesures visant à résoudre ce problème dans le budget 2024).
Nous demandons la présence d'un représentant des étudiants diplômés et des postdoctorants dans tout organe consultatif des trois organismes ou du nouvel organisme principal, et nous demandons aux provinces, aux universités, aux facultés et aux départements d'impliquer les étudiants diplômés et les postdoctorants dans leurs discussions sur le financement de la recherche.
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